Lorgelet et le chalazion Ces infections bactériennes oculaires sont également très fréquentes. Dans ce cas, linfection se développe au niveau de la racine (ou follicule) dun cil - doù lapparition d...
(même si sur le coup c'était plus fun que la thermodynamique ou l'atomistique). Bref, j'ai survécu à la première année en en ayant plus ou moins rien à foutre, en venant en cours parce que sinon je risquais de me faire engueuler, en révisant pour les partiels parce que sinon je risquais d'avoir des mauvaises notes. J'ai un peu vécu une vie "par défaut". La seconde année était beaucoup plus axé bio-informatique et j'ai fait pas mal de programmation, PERL, Java, C, bases de données... Et bien, moi qui étais jadis intéressé par le développement (en terminale j'avais mit des IUT d'informatique comme voeux secondaires), ça a suffi à m'en dégoûter. J'avais la pression, j'étais souvent parmi les mauvais, j'essayais de comprendre mais j'y arriver pas. Et le pire dans l'histoire, c'est que ceux qui s'en sortaient avaient une espèce de dédain, de fierté qui me faisait les haïr au plus haut point. Comme si savoir programmer faisait de toi un être supérieur, un savant. Maintenant, je suis en stage.
Pour le coup, c'est un stage de bio pure, à part un peu de Python à cause d'un logiciel de 3D, je ne fais pas de programmation. J'enchaîne les manipulations, Western Blots, culture cellulaire, cytométrie, les trucs que je vilipendais à l'IUT. Et bien, je les vilipende un peu moins pour être honnête. Mais quand même. C'est un environnement de travail extrêmement stressant. J'ai entre les mains des produits capables de me tuer, je travaille avec des responsabilités incroyables. Une seule erreur de manip et je fous en l'air le master entier du gars avec qui je travaille, un seul calcul faux et je me fais défoncer par toute l'équipe. En plus, je suis celui avec le plus petit niveau. Je n'ai qu'un DUT, tous les autres sont au minimum en master 2 (et encore, y'en a qu'un, les autres c'est des thésards et doctorants... ). J'ai vraiment l'impression de faire tache. Dans cet univers où tout le monde est fasciné par ce qu'il fait, je suis un imposteur. J'en ai vraiment rien à foutre de mon stage, j'ai juste envie d'être en juillet qu'il soit fini et que j'ai mon diplôme.
Ce matin un coquelicot et mon jogging m'ont rappelé de mon pire voyage. D'habitude on ne préfère que parler de nos meilleures souvenirs, mais moi, j'ai survécu 5 mauvais jours à Rome qui était ma ville préféré à cette époque-là. Pour commencer, je dois vous raconter les événements avant de départ. En jour du départ, j'étais en train de divorcer avec mon ancien mari. Nous avions décidé auparavant d'y aller et de ne pas annuler les billets d'avion. Si j'avais su, j'aurais annulé tout sans remords. Faut que j'entende mon intuition. Au début tout m'a semblé pas mal, je me suis inscrite au 5 km circuit et j'avais hâte de courir. Nous nous sommes promenés partout et j'ai choisi un resto sympa au centre ville où mes aventures ont commencé. Toute la nuit je me suis sentie très mal, j'avais mal au ventre, j'avais le nausée et des vomissements. Le pire était ce que le journée suivant je ne me suis pas rétablie, pour moi, même être debout était un calvaire. Pourtant, je me suis prétendue être en plein forme et je me suis évanouie dans d'autre resto où j'avais voulu manger.
Salut r/france, vous ne me connaissez pas mais en fait je quelqu'un d'autre, c'est juste que j'étais co sur mon compte "pro" quand m'est venue à l'esprit l'idée de poster sur r/france pour parler de mon avenir. J'adore ce sub parce que tout le monde est sympathique ou presque, et ça m'embête un peu de venir le pourrir avec un post qui parle de mes feelingz etc. Mais j'ai déjà essayé d'avoir cette conversation avec des subs anglophones et c'était jamais concluant, ils ne comprenaient pas certaines implications de la vie en France. Bon, alors, par où commencer. Je suis un djeun de 19 ans et je suis en stage de DUT génie biologique, option bio-informatique. Je me suis inscrit en licence 3 de bio, mais... Le monde de la recherche m'intéresse de moins en moins à mesure que mon stage se déroule. Je suis allé en génie bio, bio-info à la base parce qu'en terminale j'étais paumé devant le labyrinthe de la vie, je n'avais rien envie de faire, j'aimais aucune matière... Je savais juste que j'étais fait pour faire des études, pour 'peser' un petit peu.
J'aimais les jeux vidéo et mon prof de SVT était sympa donc je suis allé en bio-info. Les deux ans de DUT ont été plus ou moins... Durs. J'ai adoré certains cours, j'en ai détesté d'autres. Je me suis fait d'excellents amis mais j'avais toujours l'impression de travailler sur des sujets qui ne m'intéressaient pas, d'apprendre bêtement dans le simple but de ressortir au partiel mes connaissances en vu de ne pas avoir passé un ou deux ans à l'IUT pour me faire virer subséquemment. Parfois je me réveillais avec la boule au ventre, certains profs me terrifiaient, j'avais toujours peur de ne pas faire ce qu'il fallait... Je haïssais les TP et les manipulations sur paillasse en général, mais certains cours théoriques étaient quand même bien intéressants. Mais bon, à y réfléchir, sur le coup ça m'intéressait mais je suis content que ce soit fini et je ne me vois pas du tout faire carrière dans la biochimie, l'analyse de systèmes ou la bio cellulaire, j'ai même pas envie d'en refaire de ma vie.
Vivre la belle vie, avoir du temps à moi le week-end, avoir suffisamment d'argent pour être confortable... " C'est vrai que quand il a envie de faire quelque chose, il le fait. Là, il prend avec sa femme (qui gagne beaucoup de sous aussi) une semaine à Rome, et hier il a donné 4€ de pourboire à la pizzaïola. Mais d'un autre côté, il ne vit que pour son boulot. Parfois, sorti de nulle part, il me dit "tiens, et si on mutait l'alanine 483 sur le modèle... " alors que moi je pense à comment je vais regarder la suite de Better Call Saul en rentrant. Il a fait deux infarctus à cause du stress. J'aimerais bien avoir une quantité pareille d'argent, avoir le respect qu'il a, et l'importance qu'il a (surtout que j'ai des problèmes psychologiques vis-a-vis de ma soeur qui me donnent vraiment envie d'avoir... De l'importance, de peser dans ce que je fais). Mais si le prix à payer c'est vivre pour mon travail, faire bac +10, et stresser au point d'avoir le coeur qui lâche, c'est mort. Pour ce qui est de bac +10, je suis vraiment partagé.
Je suis quelqu'un d'assez scolaire, et ça ne me dérangerait pas du tout de rester à la fac tout ce temps. Mais il faudrait que ce soit dans un domaine que j'aime. Tous les profs nous ont sorti le même discours à l'IUT, "il faut être motivé". D'ailleurs, en en discutant avec mon boss, c'est le premier truc qu'il m'a dit. "Le doctorat, c'est ce qu'il y a de plus facile, il suffit d'être motivé. " Le problème, c'est que moi, je ne le suis pas du tout, motivé. Je vis uniquement parce que j'ai terriblement peur de la mort. Je n'ai aucune envie, pas envie de faire 10 ans de bio, pas envie d'arrêter les études et de faire vendeur de churros. En fait, tout bien réfléchi, j'ai même ENVIE de continuer les études, si ça peut me permettre de faire quelque chose de ma vie autre que paveur. En plus, je ne veux pas faire moins que ma soeur, mais ça c'est un autre problème dont, pour être honnête, j'ai pas envie de parler. J'ai envie d'avoir un boulot qui implique des responsabilités, même si maintenant ça me fait peur.
C'était une partie importante de la conscience nationale des Slovènes. Les Français ont été populaire que dans l'intellectuels qu'il n'y avait pas beaucoup. Les couches sociales inférieures des campagnes, des villes et des bourgs ne leur étaient pas favorables. Les Franςais ont introduit des impôts de guerre élevés. Les gens ont doivent accueillir et soigner les soldats et et envoyer les garçons dans l'armée. Les gents encore gardent la mémoire de Napoléon, et la forme de récits, de poèmes, noms de famille ou des routes, des puits et des ponts.
A table, on parle de bio, le soir, on parle de bio, moi je m'en fiche complet. Je veux bien faire ce que mon collègue me demande mais j'ai vraiment pas envie, de mon côté, de me mettre à réfléchir moi-même à des protocoles et des idées de trucs. Enfin, je veux dire, j'aime avoir l'astuce de me demander "et si on faisait ça pour avoir tel résultat? " mais je n'ai pas envie de passer plus de temps que ça à la mise au point de protocoles. Je suis un imposteur. Je vis chez mon maître de stage qui est plus ou moins riche, pas riche riche mais quand même, il a une belle maison, une belle voiture et quand il parle d'argent y'a toujours au moins 5 zéros dans les sommes qu'il mentionne. Il se moque de son ami qui roule en X1 parce que "plus pourri c'est une Scenic" et j'ose pas lui dire que mes parents roulent en Meriva (qui est déjà une super voiture IMO, mais ce genre de trucs le fait bien rire). Plus je passe de temps en sa compagnie, plus je suis partagé. Au début, je me suis dit "ouah, c'est fou, j'aimerais bien être comme lui.
Ne voyez-vous pas qu'en étant ici, j'ai un pied à Rome et l'autre à Constantinople? ̎ En août 1813, l'Empire d'Autriche déclare la guerre à l'Empire français, et Napoléon a été défait en 1815. L'Autriche a récupérée le territoire Provinces Illyriennes avec l e congrès de Vienne. La période franςaise ne dura que quatre ans en Slovenie, mais elle marqua l'historie slovène de faςon incomparable. Les Français ont apporté de nombreux changements. La période franςaise correspond avant tout à l'arrivé d'une administration publique, idées de la Révolution française qui donna un sens nouveau à l'organisation de l'Etat et de la société. Les Franςais introduisirent l'égalité des citoyens devant la loi, séparèrent l'exécutif du judiciaire, réformèrent l'école, supprimèrent les corporations et retirèrent à noblesse les fonctions, mais ils n'a pas terminé le système féodal. Une des choses les plus importantes était que le slovène a pu être valorisé, parce que la langue d'apprentissage scolaire était la ̎langue du pays ̎.