Lorgelet et le chalazion Ces infections bactériennes oculaires sont également très fréquentes. Dans ce cas, linfection se développe au niveau de la racine (ou follicule) dun cil - doù lapparition d...
La troisième Chambre civile de la Cour de cassation a déclaré, dans un arrêt du 27 février 2008, que la remise en mains propres ne remplissait pas les exigences posées par l'article L 271-1 du CCH. Ainsi, cette possibilité de rétractation est encadrée de façon très stricte. Par conséquent, la rétractation doit obligatoirement être envoyée par lettre recommandée avec accusé de réception ou par tout autre moyen portant les mêmes garanties afin de déterminer la date de la réception par exemple un acte d'huissier. La date prise en compte pour lancer le délai est celle du lendemain de la réception de cette dernière ou de la première présentation et non celle d'envoi. Cette possibilité de se rétracter est ouverte uniquement à l'acquéreur, le vendeur ne peut en effet revenir sur sa décision de vendre son bien, il est définitivement engagé à compter de l'offre et de l'acceptation. Si l'acquéreur se désiste hors de ce délai de 7 jours cela ne sera donc pas sans incidences. Les conséquences d'un dédit hors délai Au cours d'une vente immobilière il arrive parfois que le vendeur ou l'acheteur souhaite se désister et ainsi mettre un terme à la vente.
Il y a bien un terrain de sport, mais lors de la visite des contrôleurs, « l'endroit était détrempé et impraticable ». Des détenus ont attendu trois mois avant de pouvoir faire de la musculation. Ils peuvent se rendre deux par deux à la bibliothèque, une fois tous les quinze jours, et pour quinze minutes. Les codes judiciaires ne se consultent que sur place − il s'agit de lire vite. Il n'y avait, enfin, en 2009, qu'un seul téléphone pour toute la prison, la communication ne pouvait pas dépasser quinze minutes par mois − on avait, en revanche, saisi l'année précédente 74 téléphones portables en détention. L'inspection sanitaire avait relevé en 2009 « le sentiment d'abandon des équipes soignantes ». En 2012, l'agence régionale de santé s'inquiétait des « moyens humains insuffisants », des « locaux inadaptés » et d'une « organisation de la pharmacie non conforme ». A Ducos, il vaut mieux ne pas avoir mal aux dents, le délai d'attente « dépasse quatre mois pour les soins programmés », relevaient les contrôleurs − 35% des détenus attendaient le dentiste.