Lorgelet et le chalazion Ces infections bactériennes oculaires sont également très fréquentes. Dans ce cas, linfection se développe au niveau de la racine (ou follicule) dun cil - doù lapparition d...
Le reste de la flotte du gouvernement, composée de 39 hélicoptères et 33 jets privés (hors armée et police), est aussi à vendre. Frédéric Saliba (Mexico, correspondance) Contribuer Services Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s'affichera sur l'autre appareil. Parce qu'une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette). Comment ne plus voir ce message? En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici? Ce message s'affichera sur l'autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d'autres limites? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d'appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l'autre personne? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Sa volonté de rouvrir l'économie apparaît prévisible, mais se heurte encore une fois à la résistance d'élus locaux passablement inquiets de l'évolution de la pandémie, souligne M me Felbab-Brown. « Il faut être extrêmement optimiste pour penser que la situation est sous contrôle », relève l'analyste.
Une telle configuration lui ouvre la possibilité de réviser la Constitution, et rend donc envisageables de grandes réformes. Cette perspective alarme le responsable des pages « Amérique latine » du Financial Times, John Paul Rathbone. Hostile au modèle néolibéral, M. López Obrador « représente une plus grande menace pour la démocratie que [Jair] Bolsonaro », le président brésilien d'extrême droite, écrit-il (27 novembre 2018). M. Bolsonaro a en effet le mérite à ses yeux d'avoir nommé un économiste orthodoxe au poste de ministre de l'économie. Porté par une énorme vague d'optimisme populaire, « AMLO » promet la « quatrième transformation » du Mexique: un tournant aussi marquant que le furent l'accession à l'indépendance (1821), la période de la Réforme (1855-1863), puis la révolution (1910-1917). « Ce n'est pas seulement le début d'un nouveau gouvernement: aujourd'hui, nous vivons un changement de régime », déclare-t-il lors de sa prise de fonctions. Il refuse de loger dans la somptueuse résidence présidentielle, qu'il préfère convertir en centre culturel.
Ambitions économiques Andres Manuel Lopez Obrador doit maintenant entrer dans le vif du sujet même s'il estime avoir lancé plus de 60% des actions promises durant la campagne. C'est sans doute sur le front économique que ses ambitions sont les plus fortes. Pendant que la banque centrale réduit ses prévisions de croissance du fait des incertitudes autour de la politique gouvernementale et des relations tendues avec le secteur entrepreneurial mexicain, 'AMLO' promet, au contraire, de générer une croissance de 4% cette année, soit le double des prévisions les plus optimistes.
Pressions américaines Jorge Pantaleon, chercheur rattaché au Centre d'études et de recherches internationales de l'Université de Montréal, estime que le président mexicain reconnaît les risques posés par le virus, mais voulait « éviter de susciter la panique » en suggérant d'emblée qu'il faudrait tout fermer. Dans une économie où près de la moitié de la population vit dans la pauvreté et gagne au jour le jour ce qu'il lui faut pour manger, l'idée d'un confinement total était difficilement applicable, relève le chercheur. Quel que soit l'impact du taux de dépistage sur les chiffres officiels, il apparaît clairement que le Mexique est bien moins touché par le coronavirus sur le plan sanitaire que son voisin américain, relève M. Pantaleon. L'administration du président Donald Trump, dit-il, fait fortement pression aujourd'hui sur le gouvernement mexicain pour relancer des secteurs d'activité essentiels, comme l'industrie automobile, qui lient les économies des deux pays. Le président Obrador, qui s'est fait élire en promettant de lutter contre les inégalités sociales, est sensible à ces demandes alors que l'économie mexicaine est mise à mal par l'interruption de la production industrielle, la chute du prix du pétrole et l'effondrement du tourisme.
Résidence présidentielle [ modifier | modifier le code] Originellement, la résidence officielle du président des États-Unis mexicains fut le Palais national, situé à Mexico. Puis, sous la longue présidence de Porfirio Díaz, la résidence officielle devint le château de Chapultepec. Il en demeura ainsi jusqu'en 1935 lorsque le complexe de Los Pinos prît la relève. Toutefois, le Palais national resta utilisé comme siège officiel du pouvoir et pour les cérémonies protocolaires. Lors de la campagne présidentielle de 2018, Andrés Manuel Lopez Obrador fit part de son souhait de rendre au Palais national sa destination initiale. À l'instant même où le président Lopez Obrador termina sa prestation de serment le 1 er décembre 2018, le Palais national redevint la résidence officielle du Président des États-Unis mexicains et le complexe de Los Pinos fut transformé en musée. Pouvoirs présidentiels [ modifier | modifier le code] Avec les réformes démocratiques de ces dernières années, la Constitution continue de s'appliquer et les pouvoirs du président de la République comprennent: le pouvoir exécutif suprême de conduire et administrer le pays.
Et le gouvernement a présenté une stratégie d'urgence avec la participation de l'armée pour réaliser un déploiement de moyens sanitaires dans le pays. En effet le système de santé mexicain pourrait être rapidement saturé en cas de propagation massive du virus. Mais le pays ne dispose pas des moyens pour effectuer des tests à grande échelle et dépister la maladie de manière plus efficace. Dans la société, l'idée se répand que de telles mesures seront bientôt inévitables mais la plupart des Mexicains n'osent pas les envisager parce que les conditions de travail sont compliquées. Plus de la moitié de la population active travaille dans l'économie informelle, dans des petits commerces, en vendant par exemple de la nourriture dans la rue, et ces gens gagnent tout juste de quoi subvenir au quotidien. Ils ne peuvent donc pas compter sur un salaire et encore moins sur la sécurité sociale. D'après les autorités, il est ainsi encore tôt pour imposer des mesures qui épuiseront forcément les Mexicains.
Au début du XIX e siècle, le Mexique se dote de la Constitution Fédérale des États-Unis mexicains ( Constitución Federal de los Estados Unidos Mexicanos) et devient une république dirigée par un président, le premier président mexicain est Guadalupe Victoria le 10 octobre 1824. Néanmoins, deux personnes prirent le titre d'empereur et Antonio López de Santa Anna prit le prédicat d' altesse sérénissime. Depuis la Constitution de 1917, rédigée pendant la Révolution mexicaine, les présidents ne peuvent pas être deux fois élus. Chef de l'État [ modifier | modifier le code] Conditions pour devenir président de la République [ modifier | modifier le code] Le chapitre III de la constitution traite du pouvoir exécutif et établit les points suivants.