Lorgelet et le chalazion Ces infections bactériennes oculaires sont également très fréquentes. Dans ce cas, linfection se développe au niveau de la racine (ou follicule) dun cil - doù lapparition d...
«On est deux fois plus nombreux à travailler ce jour là. Un dimanche, c'est autour de 3. 500 clients et 12% du chiffre d'affaire de la semaine», fait valoir le conseiller de vente. Selon lui, les 300 salariés du magasin, travailleurs du dimanche ou pas, sont solidaires: «On fait du chiffre le dimanche et cela permet à tout le monde de toucher une prime intéressante. » «Les jeunes ont besoin de travailler» Parmi la clientèle, nombreuse dans les rayonnages en ce dimanche matin, l'indifférence a laissé place à un soutien massif. «Ils se bousculent pour signer», assure Nadia, qui tient le stand de la pétition, «un architecte nous a même laissé une lettre pour expliquer que l'ouverture le dimanche était "vitale" pour lui». A la mi-journée, plus de 400 personnes avaient déjà apposé leur signature. Pierre et Reinette Eschylle sont même venus exprès pour soutenir les salariés. «Je m'en fiche personnellement, je peux venir en semaine, explique Pierre Eschylle, mais les jeunes ont besoin de travailler, on ne va pas les forcer à arrêter leurs études.
Un peu plus tôt, le ministre délégué à l'Economie sociale Benoît Hamon a mis en garde ces magasins tentés de passer outre le jugement rendu jeudi par le Tribunal de Commerce de Bobigny, dans la banlieue de Paris, estimant « inadmissible qu'une marque n'applique pas une décision de justice ». Les deux chaînes de magasins de bricolage ont reçu jeudi l'ordre de cesser d'ouvrir leurs magasins de la région parisienne le dimanche sous peine d'une astreinte de 120. 000 euros par magasin et par jour. « Nous ne sommes pas des hors-la-loi », a réagi la porte-parole de Castorama, demandant l'aide des pouvoirs publics pour que tous les magasins du secteur « soient logés à la même enseigne », c'est à dire qu'ils soient « tous ouverts le dimanche ». Pour M. Cicuto, le gouvernement devrait « faire confiance aux organisations syndicales des entreprises » qui ont fait passer des accords « avantageux » pour les salariés du dimanche comme chez Leroy Merlin. Il a indiqué que son syndicat « appuiera un maximum l'entreprise » pour faire perdurer l'activité dominicale dans ses magasins.
Publié le 28 sept. 2013 à 13h05 Les chaînes de magasins de bricolage Leroy Merlin et Castorama se disaient samedi déterminées à maintenir l'ouverture ce dimanche de leurs magasins franciliens frappés d'une interdiction de travail dominical, en dépit d'une mise en garde du gouvernement. « L'ouverture sera maintenue », a affirmé à l'AFP Jean-Marc Cicuto, délégué syndical central CFTC chez Leroy Merlin, ajoutant que « 95% des salariés Leroy Merlin de la région parisienne sont pour le travail du dimanche ». Il indique que tous les points de vente de la région parisienne qui ont été condamnés à fermer le dimanche par la justice affichaient samedi leur ouverture « les dimanches » par une pancarte installée devant leurs portes. Chez Castorama, les magasins de la région parisienne qui ont également reçu l'ordre de la justice de fermer le dimanche « seront ouverts vraisemblablement demain », a fait savoir une porte-parole à l'AFP, sous couvert d'anonymat. « Nous pensons obtenir d'ici ce soir les dérogations pour ouvrir », a-t-elle précisé et, même dans le cas contraire, « Castorama n'exclut pas d'ouvrir » non plus.
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» Le sentiment général est unanime, à partir du moment où les salariés sont volontaires, cela semble ne poser de problème à personne. Emilie Chhoeu vient acheter du parquet et voit avant tout l'aspect pratique: «Je préfère venir que d'acheter sur internet pour voir les produits, les toucher. Je travaille en semaine et préfère ne pas avoir à affronter la cohue du samedi. » Au rayon des étagères, Marc Doumeche admet bien quelques «scrupules», mais il concède: «Si le personnel se mobilise et n'a vraiment aucune pression pour venir travailler, que dire? ».
Accueil Économie Parking d'un magasin Leroy Merlin. — MYCHELE DANIAU / AFP La chaîne de bricolage Leroy Merlin maintiendra l'ouverture ce dimanche de ses neuf magasins franciliens frappés d'une interdiction de travail dominical, en dépit de la mise en garde du gouvernement, a indiqué à l'AFP un délégué syndical. «L'ouverture sera maintenue», a affirmé Jean-Marc Cicuto, délégué syndical central CFTC chez Leroy Merlin, ajoutant que «95% des salariés Leroy Merlin de la région parisienne sont pour le travail du dimanche». Il indique que tous les magasins de la région parisienne qui ont été condamnés à fermer le dimanche par la justice affichaient samedi leur ouverture «les dimanches» par une pancarte installée devant leurs portes. «Inadmissibe», pour Benoît Hamon Un peu plus tôt, le ministre délégué à la Consommation Benoît Hamon a estimé «inadmissible qu'une marque n'applique pas une décision de justice». Il visait non seulement l'enseigne Leroy Merlin mais aussi Castorama qui n'a pas exclu d'ouvrir ce dimanche «sous réserve d'obtenir les autorisations appropriées».
«Personne ne veut se mouiller et les syndicats ne nous soutiennent pas», explique Amokrane Rabah. Les employés comptent donc sur une nouvelle dérogation préfectorale d'ici là. Menaces sur l'emploi Au cœur du problème, ceux qu'on appelle ici les «contrats week-end». Si l'interdiction est maintenue, une partie de la cinquantaine de salariés concernés sera sûrement licenciée. Pour Laëtitia Ludovic, étudiante et en CDI «week-end» dans l'entreprise depuis trois ans, la menace est simple: «perdre un emploi» qui lui permet de «payer loyer et études». Depuis cinq ans, elle travaille tous les samedis et dimanches, ce qui lui permet d'empocher «entre 800 et 1. 200 euros» par mois pour 15 heures de travail par week-end. «J'ai déjà eu d'autres emplois et c'est bien mieux rémunéré ici», sourit la jeune femme. «Pour nous, la rémunération est proportionnelle à l'effort demandé», renchérit Nadia, dans la même situation depuis sept ans. Pour les salariés à temps-plein, le manque à gagner est conséquent aussi, entre 120 et 150 euros par dimanche travaillé, estime Amokrane Rabah.
Ces deux chaînes ont reçu jeudi l'ordre de cesser d'ouvrir leurs magasins de la région parisienne le dimanche sous peine d'une astreinte de 120. 000 euros par magasin et par jour par le Tribunal de Commerce de Bobigny, en banlieue de Paris. Le gouvernement devrait «faire confiance aux organisations syndicales des entreprises» qui ont fait passer des accords «avantageux» pour les salariés du dimanche, a réagi Jean-Marc Cicuto dont le syndicat «appuiera un maximum l'entreprise» pour faire perdurer l'activité dominicale dans ses magasins. Ni le service de presse de Leroy Merlin ni celui de Castorama n'étaient joignables samedi après-midi.