Lorgelet et le chalazion Ces infections bactériennes oculaires sont également très fréquentes. Dans ce cas, linfection se développe au niveau de la racine (ou follicule) dun cil - doù lapparition d...
Nombre de lettres Cat�gorie D�finitions Solution 4 4 RAJA Nom 36 raja 5 5 RADJA Nom 36 radja 5 RAJAH Nom 36 rajah 5 SAHIB Nom 7 sahib 6 6 RADJAH Nom 36 radjah Avez-vous trouv� votre solution dans cette page? Nouvelle recherche
• Je crains bien que nous ne perdions cette fois M. de la Rochefoucauld; sa fièvre a continué; il reçut hier Notre-Seigneur ( SÉV. 412) 11. Le Grand Seigneur, l'empereur des Turcs, le sultan (avec un G et une S majuscules). • Il faudrait avoir une raison bien épurée pour regarder comme un autre homme le Grand Seigneur, environné, dans son superbe sérail, de quarante mille janissaires ( PASC. II, 3, édit. ) • Si l'on demande pourquoi le Grand Seigneur a fait depuis peu périr cent mille hommes devant Candie, on peut répondre sûrement que ce n'est que pour attacher encore à cette image intérieure qu'il a de lui-même le titre de conquérant ( NICOLE Ess. I) • Au milieu de ces grands embarras (1745), on reçut l'offre inouïe d'une médiation à laquelle on ne s'attendait pas; c'était celle du Grand Seigneur; son premier vizir écrivit à toutes les cours chrétiennes.... ( VOLT. Louis XV, 17) 12. Terme d'astrologie. Seigneur d'une maison céleste, la planète qui domine dans une maison. PROVERBES Tandis que le vassal dort, le seigneur veille, le seigneur peut saisir et faire les fruits siens, tant que le vassal néglige de lui porter foi et hommage.
Seigneur de parchemin, homme de robe anobli. Un grand seigneur, un grand clocher et une grande rivière sont trois mauvais voisins. À tout seigneur tout honneur, ou à tous seigneurs tous honneurs, il faut rendre à chacun ce qui est dû à sa dignité. Tant vaut le seigneur, tant vaut sa terre. REMARQUE On peut dire: de grands seigneurs, ou des grands seigneurs, suivant que l'on considère grands seigneurs comme formant deux mots ou formant une locution. — Des princes un peu subalternes, Des grands seigneurs un peu modernes Ont aujourd'hui les vieux châteaux ( M. J. CHÉNIER Épît. à Delille. ) ÉTYMOLOGIE Comme, dans l'ancienne langue, sire et seigneur sont un même mot, dont l'un est le nominatif et l'autre le régime, tout l'historique est renvoyé à sire.
à Maler Kotla, où l'héritier du trône portait le titre de Nababzada (prénom) Khan Bahadur, les fils cadets du nabab portaient le titre de Sahibzada (prénom) Khan Bahadur. à Savanur, où les fils du nabab en place portaient le titre de Nababzada, les autres descendants mâles de la lignée princière portaient celui de Sahibzada (prénom) Khan Sahib, tandis que les descendants mâles les plus éloignés avaient droit au titre de Sardar (prénom) Khan Sahib. D'autres combinaisons pouvaient encore être utilisées. Par exemple: à Hyderâbâd, grand État majoritairement musulman dirigé par son Nizâm, chaque fils du souverain portait le titre (complet) de Walashan Nabab (titre personnel), Sahibzada Mir (prénom) Khan Bahadur. Pour l'héritier du trône, tout ceci était suivi par prince de Berar; cette personne était appelée Sa Grandeur, ce qui était normalement réservé aux princes régnants ayant un salut d'honneur à 11 (plus tard 9) canons. à Loharu, où l'héritier du trône se nommait le Nababzada Mirza (prénom) Khan, les fils plus jeunes et les descendants mâles du nabab au pouvoir, dans la lignée patriarchale, portaient le titre de Sahibzada Mirza (prénom) Khan.
Il était également utilisé dans des États au salut (États auxquels les gouverneurs anglais avaient attribué à titre honorifique le droit au salut au canon de 9 pouces, le plus bas calibre en usage dans les cérémonies indiennes) qu'étaient les États de Dhrol, Limbdi, Palitana et de Rajkot. Usages pour les régnants de deuxième ordre [ modifier | modifier le code] Dans différentes dynasties, les membres ayant un certain rang généalogique étaient gratifiés de différentes combinaisons et titres additionnels, pouvant là aussi comprendre le terme de sahib. Cela pouvait même arriver dans les dynasties musulmanes, par exemple les fils du nabab régnant au Junâgadh utilisaient les termes de nababzada avant leur prénom, puis celui de khanji suivi du prénom du père, et enfin sahib. Ici encore, ce pouvaient être des usages dans des titres combinés: Le titre de Sahib-i-Jah, soit « seigneur », ou « détenteur de la dignité » était le titre du nabab régnant dans l'État du Baoni. Usages comme titre de régnant non-indien [ modifier | modifier le code] Le Bey de Tunis, un Arabo-berbère installé lors de la suzeraineté ottomane en Afrique du Nord — période connue également sous le nom de « régence » depuis la période de protectorat français — se donnait pour titre celui de Basha Bay Tunis, Sahib al-Mamlaka at-Tunisiyya (« Bey de Tunis, Seigneur de la régence de Tunis »), titre laissant penser que sa régence était du même acabit que celle des maliks ( roi en arabe).
Sous le raj britannique, il devint la forme coutumière de s'adresser à un Européen ( memsahib en étant la forme féminine) par les indigènes. Depuis que le féodalisme et le système de castes ont été officiellement abolis, le terme est largement tombé en désuétude en Inde. Toutefois, au Pakistan, il est toujours utilisé, signifiant « monsieur ». Le même terme est également rattaché aux noms des gurûs sikhs. Musahib [ modifier | modifier le code] Ce titre (au pluriel musāhibān), étymologiquement issu du participe présent du verbe signifiant « s'associer à », signifie compagnon originel, associé, ami (un terme abstrait associé est musāhabat). Comme les racines grecque Philos et latine Comes (qui a donné comte) dans l'Empire romain, ce terme désigna par la suite un favori (d'un Sahib, particulièrement un prince), pour des positions très proches comme celle d' aide de camp, et même pour un ministre dans certains États princiers. Divers [ modifier | modifier le code] Le livre saint du sikhisme, l' Adigrantha ou Guru Granth Sahib, le porte dans son titre.
COUR. Trad. d'Hérodote, préface. ) 8. Titre que l'on donnait collectivement aux membres des états généraux et des cours souveraines. Au roi et à nos seigneurs de son conseil. 9. Absolument. Le Seigneur, Dieu (on met une S majuscule). • Le Seigneur notre Dieu est lui-même le Dieu des dieux et le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, puissant et terrible ( SACI Bible, Deutéron. X, 17) • Vous servirez le Seigneur votre Dieu, afin que je bénisse le pain que vous mangerez et les eaux que vous boirez, et que je bannisse toutes les maladies du milieu de vous ( SACI ib. Exode, XXIII., 25) • Mais, à vous dire tout, ce Seigneur des seigneurs Veut le premier amour et les premiers honneurs ( CORN. Pol. I, 10) Le jour du Seigneur, le samedi chez les Juifs, le dimanche chez les chrétiens. Seigneur Dieu! ou, simplement, Seigneur! sorte d'exclamation. Ah! Seigneur! quelle nouvelle est-ce là! Le Seigneur, se dit aussi de Jésus-Christ. 10. Notre-Seigneur, Jésus-Christ (avec une N et une S majuscules). Recevoir Notre-Seigneur, recevoir l'eucharistie.
1) • Tous ces demi-seigneurs sans talents et sans âmes, Qui bornent leurs exploits à tromper quelques femmes ( DORAT Feinte par amour, II, 2) • Marceline: Sémillant, généreux, généreux.... - Bartholo: Comme un voleur. - Marceline: Comme un seigneur ( BEAUMARCH. Mar. de Fig. I, 4) • C'est un vieux seigneur qui a toute la galanterie et toute la politesse de l'ancienne cour ( GENLIS Théâtre d'éd. Méchant par air, I, 7) Vêtu, logé comme un seigneur, très bien vêtu, très bien logé. Vivre en seigneur, en grand seigneur, vivre sans rien faire et magnifiquement. En plaisantant et par ironie, homme qui est loin d'être un seigneur. • Vous voyez un seigneur [Strabon, suivant de Démocrite] fort satisfait de soi, Un convive échappé de la table du roi; Il tient bon ordinaire et je l'en félicite ( REGNARD Démocrite, IV, 7) • Ce discours me surprend de la part d'un seigneur [un financier] de qui je ne croyais pas avoir l'honneur d'être connu ( ALAIN l'épreuve réciproque, sc. 15) Fig. C'est un petit seigneur, se dit d'un homme qui affecte une importance ridicule.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia: sahib, sur le Wiktionnaire Sahib ou Sahbi ( sahiba au féminin), de l' arabe صاحب, signifiant à l'origine « ami, compagnon », issu de la conjugaison sahiba صحب « il accompagnait », mais utilisé par la suite comme signifiant « seigneur », est un mot de l' hindi ou du bengalî signifiant monsieur, maître, ou à l'origine, seigneur. Usages aux Indes britanniques [ modifier | modifier le code] Aux Indes britanniques durant les périodes féodale et coloniale, sahib était également un titre honorifique, utilisé seul ou en compagnie d'autres titres, pour les aristocrates de naissance, y compris certains chefs d'États princiers et/ou certains membres de leur dynastie. Usages combinés pour les régnants de premier ordre [ modifier | modifier le code] (Cette liste est probablement incomplète.