Lorgelet et le chalazion Ces infections bactériennes oculaires sont également très fréquentes. Dans ce cas, linfection se développe au niveau de la racine (ou follicule) dun cil - doù lapparition d...
La toux et la sensation d'étouffement Vous n'avez jamais souffert de maladies respiratoires, mais vous avez, depuis quelques temps, des difficultés à respirer profondément? Cette difficulté respiratoire peut apparaître alors même que vous êtes occupée à vos activités quotidiennes. Elle s'accompagne généralement d'une toux inexplicable. Il peut s'agir d'un autre symptôme précoce de l'infarctus chez la femme. Mais faites attention. La combinaison de ces deux facteurs peut en effet être due à d'autres problèmes de santé. Lisez également: Plusieurs façons de préparer un remède contre la toux au gingembre L'acidité et la distension abdominale Avoir une sensation de brûlure ou de gonflement après avoir mangé, peut également être l'un des premiers symptômes de l'infarctus chez la femme. Une étude révéla que 40% des femmes ayant souffert d'un infarctus coronaire expérimentèrent ces troubles avant de subir la pathologie de plein fouet. Des vertiges et une sudation excessive Ces deux symptômes peuvent être mis en relation avec la ménopause.
En cas d'arrêt cardiaque (perte de connaissance, arrêt respiratoire), voici les recommandations de la Fédération française de cardiologie: • Procéder à un massage cardiaque; • Si d'autres personnes sont présentes, leur demander si un défibrillateur est disponible à proximité et défibriller rapidement. Vidéo de la Fédération française de cardiologie " 1 vie = 3 gestes ": À l'arrivée des secours, si le temps écoulé entre le début des symptômes et l'hospitalisation risque de dépasser 90 minutes, un agent "thrombolytique" est administré, capable de dissoudre le caillot sanguin qui bouche l'artère coronaire. Si le délai de 90 minutes est respecté, une angioplastie suffit. Elle consiste à dilater les parois de l'artère obstruée à l'aide d'un ballonnet gonflable, afin de restaurer la circulation sanguine. S'en suit la pose d'un stent, un petit tube en maille métallique placé dans l'artère pour la maintenir dilatée. En 15 ans, le recours à l'angioplastie est passé de 50% à 75%. Animation décrivant l'angioplastie coronaire: Comment l'éviter?
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On est tout simplement moins bons pour reconnaître les symptômes annonciateurs d'infarctus, et même l'infarctus chez la femme. On s'améliore, mais on est encore moins bons. Plus souvent qu'un homme, une patiente décrira une douleur diffuse ou inconstante, un essoufflement, de la fatigue, des pertes de conscience ou des sueurs abondantes - et non pas les typiques douleurs vives à la poitrine irradiant dans le bras gauche ou la gorge. Trop souvent, ces symptômes d'une maladie cardiaque seront confondus avec ceux de l'anxiété ou de la ménopause. On interviendra donc moins rapidement - si l'on intervient. Pour consulter cet extrait sur votre appareil mobile, cliquez ici. (Nouvelle fenêtre) Les femmes sous-représentées dans la recherche Cette nouvelle étude ajoute à l'inquiétude de la coordonnatrice du Centre canadien pour la santé cardiaque des femmes, Sue Perron. Mais elle ne la surprend pas. « On sait que le risque de décès, dans l'année suivant une crise cardiaque, est 50% plus élevé chez la femme », souligne-t-elle, montrant du doigt elle aussi la méconnaissance des symptômes, mais aussi des traitements les mieux indiqués pour les femmes.
Les médecins, et les victimes elles-mêmes, ne savent pas toujours reconnaître les signes d'alerte. De manière générale, les crises cardiaques sont dues à une obstruction d'une artère par une plaque d'athérome qui empêche le sang de s'écouler jusqu'au cœur. Or, des études s'appuyant sur des autopsies ont montré des différences de morphologie de ces plaques selon le sexe. Aussi, si un médecin ne diagnostique pas correctement la cause de l'infarctus, il peut ne pas prescrire le bon traitement. De nombreux travaux ont d'ailleurs mis en évidence que les femmes recevaient moins souvent de traitement médical (aspirine, bétabloquant ou statines) à la sortie de l'hôpital. Priorité de santé publique Par ailleurs, les auteurs de l'article soulignent que ce mauvais suivi et erreur de diagnostic sont également liés aux symptômes de l'infarctus spécifiques à la femme. Bien que la douleur dans le thorax irradiant dans le bras gauche soit commune aux deux sexes, les femmes présentent plus souvent des symptômes atypiques tels que des palpitations lors d'un effort associé à une fatigue persistante, essoufflements ou encore des nausées, sueurs et douleurs à l'estomac.
Si ces signes peuvent alerter, ils ne font pas office de signaux d'alarme classiques chez les femmes, plus souvent sujettes à des symptômes qui peuvent passer inaperçus. Difficultés à respirer, nausées, troubles digestifs... Ainsi, les femmes peuvent également souffrir d'une douleur au niveau du thorax, "mais ce symptôme plus classique chez l'homme est plus rare chez la femme", précise la Fédération française de cardiologie. Elles sont surtout en proie à un essoufflement ou à des palpitations à l'effort et parfois même au repos, à des nausées, des vomissements, des sueurs, des douleurs dans le creux de l'estomac, ou encore une grande fatigue persistante et inhabituelle. "La plupart du temps, elles négligent ces manifestations, les associant à tort au stress, à la fatigue ou même à des problèmes digestifs", souligne la FFC. Connaître ses symptômes spécifiques est important, car "depuis que les femmes ont adopté le même style de vie que les hommes, elles sont concernées de plus en plus jeunes.